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19 août 2013

Le socialisme vise à égaliser dans la rancœur, l’envie, la jalousie, la paresse, la médiocrité, la laideur

Serge Schweitzer, Socialisme Société

Est un libéral, tout à l’inverse, celui qui tombe, vous et moi, qui échoue, vous et moi, mais qui se relève, tire les leçons, repart de l’avant, en se promettant tout simplement d’essayer de faire un tout petit peu mieux.

Le libéralisme c’est l’école du courage, du relèvement, de la reconnaissance de ses faiblesses, mais du désir de toujours progresser, de faire un petit peu mieux, de ne pas persister dans l’erreur, de s’appuyer sur l’imitation des autres quand ils ont fait mieux que nous.

Le libéralisme est donc humilité, le socialisme est flagellation.

Le libéralisme est surpassement de soi, le socialisme acquiescement à ses échecs et transfert de responsabilités sur les autres.

Le libéralisme est une école de volonté sur soi, le socialisme est une acceptation de la médiocrité de notre condition à certains mondes.

Le libéralisme est tendu vers le plus, le socialisme est soumission et alignement vers le moins.

Le libéralisme dit aux individus surpassez-vous, et les reste viendra par surcroît, le socialisme dit aux individus faites 35 heures et le reste viendra des autres.

Le libéralisme est donc, au risque de vous surprendre, d’abord et enfin une esthétique du beau, du bien, du glorieux, de ce qui nous sublime et nous grandit.

Le libéralisme vise à épanouir les âmes et les esprits dans l’exercice de notre liberté et de notre responsabilité. Le socialisme vise à l’inverse à égaliser dans la rancœur, l’envie, la jalousie, la paresse, la médiocrité, la laideur.

A lire aussi :  Origine et évolution du socialisme français

— Conférence du Professeur Serge Schweitzer de l'Université d'Aix-Marseille sur les courants du libéralisme, donnée lors de l'Université d'été de l'association Liberté Chérie, le 2 septembre 2006.

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