Devant la faillite universelle de l’économie libérale, presque tous les peuples se sont engagés dans la voie d’une économie nouvelle. Nous devons nous y engager à notre tour et, par notre énergie et notre foi, regagner le temps perdu. Deux principes essentiels nous guideront : l’économie doit être organisée et contrôlée.
La coordination par l’État des activités privées doit briser la puissance des trusts et leur pouvoir de corruption.
Bien loin donc de brider l’initiative individuelle, l’économie doit la libérer de ses entraves actuelles en la subordonnant à l’intérêt national.
La monnaie doit être au service de l’économie, elle doit permettre le plein essor de la production, dans la stabilité des prix et des salaires.
Larbin Crétin: Le libéralisme n'est pas "l'idée de la lutte entre les individus blablabla". Il se situe, bien évidemment, à l'opposé du……
pierrack: le nazisme est en réalité bcp plus proche du libéralisme (via le darwinisme social, l'idée de la lutte entre les……
Frederic Bastiat: Merci pour cette vidéo, j'ai beaucoup ri. Cela faisait longtemps que je n'avais pas ri autant.…
Larbin Crétin: Le national-socialisme était-il d'extrême droite ? Probablement, il était néanmoins socialiste et, de l'aveu même d'Hitler, partageait énormém…
LePierrack: ok mais tu éludes le sujet : le FN est bien un parti d'extrême droite, c'est à dire réactionnaire. Tu……
29 novembre 2016
Faillite universelle de l’économie libérale
Libéralisme, Philippe Pétain, Régime de Vichy Société
Devant la faillite universelle de l’économie libérale, presque tous les peuples se sont engagés dans la voie d’une économie nouvelle. Nous devons nous y engager à notre tour et, par notre énergie et notre foi, regagner le temps perdu. Deux principes essentiels nous guideront : l’économie doit être organisée et contrôlée.
La coordination par l’État des activités privées doit briser la puissance des trusts et leur pouvoir de corruption.
Bien loin donc de brider l’initiative individuelle, l’économie doit la libérer de ses entraves actuelles en la subordonnant à l’intérêt national.
La monnaie doit être au service de l’économie, elle doit permettre le plein essor de la production, dans la stabilité des prix et des salaires.
— Philippe Pétain, discours du 11 octobre 1940, L’ordre nouveau