Deux mille trois cents noms et 22 listes noires de supposés « traîtres » ou « provocateurs », jetés en pâture par le PCF entre 1933 et 1945. Le but, parfaite application des dogmes léninistes : mettre au pilori les « ennemis de classe » au sein du « mouvement ouvrier ». Une terreur quotidienne, qui trouvera son aboutissement pendant la Seconde Guerre mondiale, avec les « liquidations physiques » de dissidents mis dans le même sac que les collaborateurs.
Larbin Crétin: Le libéralisme n'est pas "l'idée de la lutte entre les individus blablabla". Il se situe, bien évidemment, à l'opposé du……
pierrack: le nazisme est en réalité bcp plus proche du libéralisme (via le darwinisme social, l'idée de la lutte entre les……
Frederic Bastiat: Merci pour cette vidéo, j'ai beaucoup ri. Cela faisait longtemps que je n'avais pas ri autant.…
Larbin Crétin: Le national-socialisme était-il d'extrême droite ? Probablement, il était néanmoins socialiste et, de l'aveu même d'Hitler, partageait énormém…
LePierrack: ok mais tu éludes le sujet : le FN est bien un parti d'extrême droite, c'est à dire réactionnaire. Tu……
18 octobre 2013
PCF : liquidations physiques de dissidents
Le Figaro, Parti communiste français, Rémi Kauffer Société
Deux mille trois cents noms et 22 listes noires de supposés « traîtres » ou « provocateurs », jetés en pâture par le PCF entre 1933 et 1945. Le but, parfaite application des dogmes léninistes : mettre au pilori les « ennemis de classe » au sein du « mouvement ouvrier ». Une terreur quotidienne, qui trouvera son aboutissement pendant la Seconde Guerre mondiale, avec les « liquidations physiques » de dissidents mis dans le même sac que les collaborateurs.
— Rémi Kauffer, Le Figaro Magazine, 14 novembre 2008